Concience du Réel — Forces — Sylvain Lebel
Forces
Gravitation
Dans ce modèle, la gravitation ne résulte pas d'une force d'attraction, mais des déformations locales de l'espace-temps quantique causées par la présence de matière. La matière, en transférant des spations vers une autre dimension (via les transions), vide partiellement l'espace-temps de sa substance. Il en résulte une dépression locale de densité et de pression.
Une planète ou un photon (figure A) ne subit pas de force au sens classique. Ils suivent la courbure induite par l'écoulement du tissu spatiotemporel. Les trous noirs (figure B et C) ne seraient donc que des champs où se transfèreraient toutes les saveurs de spations de l'espace-temps. Alors la question qui se posait à savoir ce qu'il advient de la matière le pénétrant trouve réponse; elle ne le pénètre pas; détruite, elle ne ferait qu'accroître la quantité de spations qu'il peut transférer à la fois.
Origine des Forces Quantiques
Un spation de charge électron (3/3) ne serait pas directement entraîné par un courant de spations partageant zéro à deux axes avec lui, mais serait entraîné par un courant de deux ou trois charges de spations qui ensemble partagent ses trois axes. Ainsi, une particule composite à trois quarks de charge uud tel que le proton peut entrer en interaction électrostatique avec une particule de charge électron.
Force Forte
Des particules élémentaires de charges différentes pourraient s'associer si elles partagent des axes dimensionnels. Comme leur champ se superpose et se bouscule, elles seraient par inflaréaction plus massives que la somme de leurs constituants pris individuellement.
Plongées dans un même champ, la force qui les unies serait d'autant plus grande qu'elles s'éloigneraient l'une de l'autre jusqu'à rupture du couplage. Cette force disposerait donc des caractéristiques de celle qu'on nomme force forte. Elle pourrait indirectement lier les nucléons, leur permettant ainsi de former les noyaux atomiques :
Alternance des Quarks
Les particules composites, constituées de trois quarks u et d, formeraient donc les nucléons nommés proton et neutron, qui forment les noyaux atomiques. Le proton ne partageant que deux axes avec la charge neutrino, des spations de cette charge pourraient occuper la même position que lui dans l'espace-temps. De même, le neutron ne partageant que deux axes avec la charge électron, les spations de cette charge pourraient aussi le combler. Leur présence stabiliserait le nucléon en sa charge proton ou neutron, mais n'empêcherait pas leurs quarks d'alterner de " couleur ".
Comme les quarks une fois réunis n'entraîneraient pas que les charges électron ou neutrino, mais aussi toutes les charges quarks, la pression qu'elles exerceraient devrait aussi les conduire à transiter par alternance dans les nucléons, sans pour autant changer le rapport du nucléon avec l'électron et le neutrino.
Force Faible
Comme un changement de quark (de u à d ou d à u) inverserait le rapport du nucléon avec les spations de charges neutrino et électron, cela impliquerait que les contraintes que peuvent exercer ces spations ou leurs particules peuvent aussi contraindre le nucléon à un changement de quarks, avec tout ce que cela implique.
Le proton entraînant vers lui la charge électron sans la drainer, les spations de cette charge s'accumulent autour de lui, augmentant aussi leur pression. Si un électron franchi cette barrière de spations électrons le proton se réorganiserait en neutron par le changement de saveur d'un des quarks u en quark d.
Force Électrostatique
La présence dans un espace restreint de particules intégrant un surplus de charge électron imposerait à l'espace-temps d'y drainer cette charge et d'y expulser les spations excédentaires des autres charges. De même, la présence dans un espace restreint de particules intégrant un surplus de charges proton imposerait à l'espace-temps d'y drainer ses charges et d'y expulser les spations de charge électron excédentaires. C'est ce qui, selon ce modèle, serait à l'origine de la force électrostatique.
Ce phénomène impliquerait les forces d’attraction et répulsion électrostatiques suivant ces vecteurs (ceux des spations de saveur électron).
Interactions vectorielles forte et faible
Illustration des interactions vectorielles fortes de répulsion / attachement (A), et d’attraction / désintégration (B et C) entre champs à écoulement continu.
Figure servant à illustrer qu’avec la distance l’écoulement des spations vers le cœur des vortex deviendrait discontinu.
Ce qui nous permet de prévoir les phénomènes magnétiques.
Force magnétique
Ondes électromagnétiques :
Et donc les caractéristiques observées du champ électronique des atomes :
Figures illustrant que l’électron pourrait être en phase avec lui-même, ce qui favoriserait des niveaux particuliers d’énergie cinétique (vitesses), qui avec les nombres quantiques azimutal, magnétique et de spin, permetterait de caractériser les électrons dans l’atome sachant qu’aucun ne pourrait avoir les même 4 nombres qu’un autre.
Le Photon
Le photon désignerait ici un paquet de spations en rotation formé par la conservation de leur énergie de mouvement. Il pourrait être produit de plusieurs façons. Par exemple, un électron qui baisse d’orbital laisserait derrière lui un champ rotatif qui se transformerait en photon suivant cette séquence :
Ce n’est qu’après s’être enroulés sur eux-mêmes et désolidarisés du milieu cellulaire par leur rotation, qu’ils deviendraient photon. Même si dénué de charge électrique, il serait porteur d’une masse de spations en rotation, de spations de saveur électron dans ce cas. Choquant l’espace-temps autour de lui, il serait aussitôt propulsé par inflaréaction.
Un photon ne pourrait avancer, même de quelques diamètres de spation, sans que les spations situés juste derrière son point le plus épais se trouvent momentanément détendus. Aussitôt comblé par liaison sub-spatiotemporelle, il en résulterait un surplus de pression spatio-temporelle qui s’exercerait sur la partie arrière du photon, le propulsant comme une savonnette mouillé que l’on serre entre les doigts, et ce jusqu’à la vitesse de propagation des ondes.
Un photon pourrait être dévié, guidé, aligné et couplé à un champ si sa vitesse de rotation est compatible, être absorbé ou produire de nouvelles particules. Le photon pourrait aussi être produit par paire lors du couplage vectoriel fort et désintégration des vortex d’une particule et de son antiparticule.
Nucléosynthèse
Ce modèle semble donc pouvoir expliquer la formation des éléments chimiques, après que les noyaux atomiques aient été forgés par nucléosynthèse dans le cœur des étoiles.
Forces de liaisons Chimiques
Liaison covalente par partage d’électron :
Liaison de van der Waals :
Liaisons polaires :
Liaison ionique :
Liaison métallique :
Et de là toute la chimie moléculaire et la biochimie, le monde et la vie.
Relativité du Temps
CELA génère un espace spatial et temporel fini, multidimensionnel et fondamental, dont les perpétuelles transformations sont les " tic-tac " fondamentaux de la réalité. Mais cela ne désignerait pas ce que nous appelons communément le temps. Ce dernier, émanation du premier, serait propre à la matière, cadencé sur ses processus.
Plus les variations de vitesse de la matière seraient importantes, moins l'espace-temps n'aurait le temps d'y réagir, et donc, moins la pression qu'il exerce sur elle serait importante, ralentissant ses processus. Donc à son retour le jumeau qui a subi de grandes accélérations durant son voyage sera moins âgé que celui resté à la maison.
Car quelque soit la vitesse de la matière, l'espace-temps s'organiserait même de très loin pour s'y écouler et cette organisation tiendrait tant que sa vitesse et celles de ses constituants seraient uniformes. Mais toute variation de vitesse imposerait une réorganisation non-instantanée de l'écoulement.
De plus, l'espace-temps se dilaterait en s'écoulant vers la matière, dilatant ainsi le temps par rapport à un temps mesuré à distance de la déformation de l'espace-temps. Une horloge sur terre prendrait donc du retard par rapport à la même horloge sur un satellite dans l'espace.